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Lumière et astronomie

L’astronomie : la discipline où la lumière est reine

9 mai 2015/par Sophie Félix
Terre, vie et eau

Une eau extra…terrestre !

8 novembre 2014/par Sophie Félix

Short fact

----- Lumière -----

Les étoiles les plus chaudes sont bleues et les plus froides sont rouges. Le Soleil est une naine blanche.

Rien ne peut aller plus vite que la lumière, qui parcourt 300 000 kilomètres par seconde.

Les M&M’S marrons sont en fait un mélange de plusieurs colorants : du jaune (E100), du rouge carmin (E120) et du bleu (E133).

La lumière est un rayonnement électromagnétique dont les longueurs d'onde s'échelonnent de 10^-6 m (infrarouge) à 10^-9 m (ultraviolet).

Dans le vide, la lumière se propage toujours à la vitesse de 300 000 000 m/s, l’une des constantes fondamentales de la physique.

Depuis 1983, la valeur du mètre est définie comme étant la distance parcourue par la lumière dans le vide en 1/299 792 458 seconde.

L’œil humain peut percevoir la portion du spectre lumineux formé des longueurs d’onde dans le vide entre 380 nm (violet) et 780 nm (rouge).

L’univers étant en expansion, la lumière émise par certaines galaxies n’atteindra jamais la Terre.

Le phénomène d’émission de lumière par les organismes sous-marins est appelé bioluminescence.

Certains mammifères comme le chat ou certains rapaces nocturnes sont nyctalopes : ils peuvent voir dans le noir.

La rétine de l’œil humain contient 2 types de photorécepteurs : bâtonnets (vision périphérique et nocturne) et cônes (couleurs et vision diurne).

Par un phénomène de thermoluminescence, les cristaux peuvent émettre de la lumière lorsqu’ils sont exposés à une source de chaleur.

« Bienheureux les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. » - Michel Audiard.

Les aurores boréales résultent de l’interaction entre vent solaire et atmosphère terrestre.

Il est théoriquement possible d’entraîner son cerveau à voir des couleurs imaginaires.

Au IVème siècle av. J.-C., Platon pensait que la lumière était émise par les yeux, sous forme de rayons.
« Et l’on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens, / Mais, dans l’oeil du vieillard, on voit de la lumière. » - Victor Hugo.

Le vent solaire est un flux de particules électriquement chargées émises par le Soleil.

L’humain est lui aussi bioluminescent : il émet un flux « invisible » de photons dont l’intensité varie au cours de la journée.

« Ne voit la lumière que celui qui est éclairé. » - Réda Hadjouti

La lumière solaire qui inonde aujourd’hui la Terre a été générée au cœur du Soleil il y a 100 000 ans.

L’homme est sensible à la polarisation de la lumière surtout dans les bleus, mais bien moins que le poulpe ou l’abeille.

Le plus ancien ouvrage scientifique connu évoquant la lumière est intitulé Optique et a été rédigé par Euclide vers 280 av. J.-C.

Bien que les lentilles et le télescope aient été connus avant lui, Galilée a été le premier à les utiliser pour l’observation scientifique.

La loi de la réfraction a été établie en parallèle par René Descartes en France et Willebrord Snell aux Pays-Bas au XVIIème siècle.

Au XVIIème siècle, Pierre de Fermat est l’un des premiers (avec Ole Christensen Rømer) à affirmer que la vitesse de la lumière est finie.

Au début du XVIIIème siècle, Isaac Newton parvient à décomposer le spectre de la lumière blanche à l’aide de prismes.

L’hypothèse que la lumière était une onde a été écartée pendant près d’un siècle car Newton n’avait pas retenu cette idée.

Dans l’océan, l’épaisseur d’eau exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse ait lieu est appelée zone euphotique ou épipélagique.

18 à 35 % de la population humaine est sujette à des éternuements dûs à une exposition à la lumière du soleil.

L’optique physiologique est la discipline qui étudie la perception de la lumière par les êtres humains.

Dans toutes les cultures humaines, le symbole de la lumière est associé à la connaissance.

Les biologistes marins estiment que 80 à 90 % des organismes sous-marins des grandes profondeurs seraient bioluminescents.

Brevetée par Thomas Edison en 1880, la première ampoule incandescente commercialisée utilisait un filament fait de bambou.

En 2001, un artiste américain a introduit un gène de méduse dans l’ADN d’un lapin pour qu’il soit fluorescent sous lumière bleue.

La lumière se déplace en ligne droite dans un milieu transparent homogène mais peut changer de trajectoire lors du passage d’un milieu à un autre.

----- Eau -----

L’eau recouvre 70.8% de la surface terrestre.

L’eau est un gaz à effet de serre plus puissant que le méthane (CH4) et le dioxyde de carbone (CO2).

A l’échelle moléculaire, la glace est un cristal tétraédrique d’angle théorique 109°28’.

L’eau liquide absorbe surtout les rayons lumineux infrarouges (≈700 nm à 1 mm) et ultraviolets (≈400 à 10 nm).

Les principaux sels dans l’eau de mer sont NaCl (78 %), MgCl2 (11%), MgSO4 (5%), CaSO4 (4%), K2SO4 (2%).

Quelle que soit la salinité de l’eau, les proportions des différents sels y sont pratiquement constantes.

Quand la sensation de soif se manifeste, le corps a déjà perdu 1% de son eau.

Les bulles de l’eau gazeuse naturelle sont constituées de dioxyde de carbone (CO2).

Quand la hauteur d’une vague est 7 fois plus petite que la distance la séparant de la vague suivante, elle se brise.

Les océans concentrent 97% de l’eau liquide présente sur Terre.

Lors d’un cycle de l’eau, une molécule d’eau séjourne 4000 ans dans l’océan contre 12 jours dans l’atmosphère.

Dans les lacs, il existe des strates d’eau superposées qui s’inversent au printemps et en automne.

Le gramme est originellement défini en 1795 comme la masse d’un centimètre cube d’eau pure à 4 °C.

Le corps humain d’un adulte est composé à 65% d’eau (soit environ 45 L d’eau pour une personne de 70 kg).

Il existe trois types de déferlement de vagues : vagues déversantes, plongeantes ou gonflantes.

En chimie, l’eau s’appelle aussi monoxyde de dihydrogène, hydrogénol, hydroxyde d’hydrogène et oxyde dihydrogéné.

A l’état liquide, l’eau est dite inodore, incolore et insipide.

Dans l’eau, le son voyage à la vitesse de 1 497 m/s (à 25°C).

Les marées sont dues aux effets combinés de l’attraction gravitationnelle de la Lune et du Soleil
Dans l’eau, le son voyage à la vitesse de 1 497 m/s (à 25°C).

Les marées sont dues aux effets combinés de l’attraction gravitationnelle de la Lune et du Soleil.

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